Coucou Nascana,

Je vais radoter, mais j'ai adoré ce chapitre. Pourtant, il est presque cliché, presque caricatural, puisque tu renverses complètement la situation dans laquelle se trouve les protagonistes. En fait, on est tellement formaté, habitué à voir un homme de sa condition être sur de lui, fier, au lieu d'un quasi-ado pathétique qui se prend sans arrêt les pieds dans le tapis.
J'ai été très impressionné par la scène au théa^tre, avec Zélie au bras du maire. Je sais quelle est sa condition, mais elle si habile que j'ai bien cru à une trahison. Mais sa liberté est ce prix. En ces temps (ça n'a pas beaucoup changé, seules les apparences sont différentes), être une femme libre demandait d'immenses ressources.
Je suis certain qu'elle a déjà, et depuis le début, percé les intentions de Walen, et c'est très habile de sa part que de lui laisser sa porte ouverte, pour qu'il commence par être honnête avec lui-même ce qu'à cette condition qu'on peut être honnête avec les autres.
Zélie est une héroïne comme je les aime, elle me rappelle Moea, l'un des personnage de Yuri dans Magdala