Les humains, forcément effrayés par l'inconnu se tournent vers la première figure céleste à porté de main d'un côté et cette marche cadavérique, que dis-je, cette valse cadavérique de l'autre.

L'ouverture du manoir où gisent poussière, toiles d'araignée, lambeau est parfaitement contrasté par cette lumière verte persistante qui "ressuscite" la bâtisse.

Tous ces contrastes sont parfaitement mis en scène! C'est marrant de voir que selon la distance à laquelle on se trouve, "ces forces du mal" ne sont absolument pas identiques pour les uns comme pour les autres.