Abbie, Tomàs, oui vous tenez l’un à l’autre, oui il y a un lien fort entre vous, tout le monde le voit, alors ne jouez pas les étonnés ! xD
J’ai beaucoup aimé la confrontation entre les deux personnages, après que Tomàs ait découvert les fragments du Phylactère, c’était très bien écrit !
Alors la brume verte c’est un fragment de Gaïa (la Fondation Gaïa et oui…) qui servait de sceau, tout s’emboîte c’est génial ! Est-ce qu’Aldous le savait ? Cela expliquerait sa panique…
C’est marrant, j’imagine trois couleurs pour représenter Abbie et ses trois types de pensées maintenant. Pour elle, Abbie la vampire, c’est du noir/violet, pour sa Bête du rouge et pour Gaïa du vert (l’anti-rouge)… je ne sais pas si ça a du sens ce que je dis xD Mais je comprends mieux maintenant pourquoi Abbie se trouve changée.
Dans le chapitre précédent, les pensées que Gaïa impose dans l’esprit d’Abbie étaient signifiées en italique il me semble, c’était plutôt ingénieux et lisible ^^

J’aime beaucoup quand tu reviens vers le métier et la musique d’Abbie, cela apporte un peu de calme et permet de décompresser un peu ^^
Et si Abbie et Tomàs ont besoin du Collectif, ils n’ont qu’à demander à Tamaryn