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volume 1, Chapitre 3 « Groupe » volume 1, Chapitre 3

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3. Groupe

! Alerte : Vous avez découvert une nouvelle contrée : Canton d’El Virqu !

! Alerte : Vous gagnez un niveau !

! Alerte : Vous gagnez une nouvelle compétence magique : condenser !

Une nouvelle compétence ? J’ouvris le panneau d’attributs et sélectionnai l’expertise en question :

Condenser

Type : Magie

Élément : spécial (Manipulation)

Évolution : 0/5

Zone d’effet : une cible

Descriptif : Permet par compression de condenser toute chose visée en un seul point créant une sphère de densité et de masse équivalente à l’original. Le sort peut être inversé grâce au contre-sort rattaché.

Contre-sort : Décondenser (rattaché)

Maintenant que j’étais sorti du village, j’avais atteint le niveau 10 et obtenu une compétence ; ainsi, l’exploration apporte aussi son lot d’expérience. Je regardai autour de moi. Je me trouvais sur une route de terre battue. D’un côté s’étendait une forêt assez dense et de l’autre une vaste étendue de champs cultivés. À en juger par la floraison, nous devions être au printemps. Ma quête consistait à me rendre à l’ouest pour découvrir un campement de brigands et récupérer les caisses de livres.

« Map » La carte de la contrée s’ouvrit. Bien évidemment… elle était inexistante… Il me faudrait donc découvrir les lieux par moi-même. Enfin, au moins, une boussole y figurait. Je n’avais qu’à me diriger vers l’ouest. Je commençai à avancer. L’ouest était la direction à travers champs. Pour l’instant, j’allais suivre la route qui se dirigeait vers le nord-ouest en attendant de trouver un croisement.

« Mais avant cela, je dois tester cette nouveauté. » Je pénétrai dans le bois au bord de la route de terre tassée et trouvai un rocher assez gros. Je le soulevai et estimai son poids à une quinzaine de kilos. J’activai la compétence en y investissant un point. Si c’était comme la télékinésie, il me suffisait donc de visualiser l’effet pour déclencher le sort. Je pointai la roche avec ma main en forme de pistolet et, d’un geste, je tirai l’onde de condensation. La pierre se rétracta sur elle-même jusqu’à ne former plus qu’une bille ronde sur le sol. Je m’approchai de celle-ci et tentai de la prendre. Pas facile de la porter entre deux doigts, car elle avait conservé le même masse.

« Le contre-sort maintenant. » Faisant le même geste, la bille se désagrégea et s’étendit pour reprendre sa forme initiale.

« Est-ce que ça marcherait sur des humains ? »

Je verrais plus tard. Il était temps d’avancer. Je sortis de la zone boisée et repris ma route. Ma carte ouverte, je m’aventurai prudemment. J’étais toujours sur le chemin de terre battue, qui serpentait entre des champs de blé d’une couleur reluisante sous les soleils lumineux. Au bout du pré, enfin, je découvris à la lisière d’un bois un accès vers l’ouest, là où je devais me rendre pour ma quête. J’ignorais le danger qui m’attendait. Aussi, avant toute action, le renseignement était primordial. Accroupi, j’avançais d’un pas toujours aussi prudent.

Un bruit ! Soudain, un tumulte derrière moi. Je sautai en avant, juste à temps ! Une lance se figea à l’endroit où je me trouvais sur la route tassée. Je scrutai les alentours, mais ne vis rien. Sans doute m’avait-on tiré dessus depuis le bois. Je fis une roulade et me précipitai dans les fourrés sombres. Je gardai le silence, limitant ma respiration, concentrant tous mes sens sur mon ouïe tout en observant autour de moi.

Un chuintement venant de ma droite. Je bondis en avant. De nouveau, une lance se planta là où je m’étais tenu quelques secondes plus tôt. L’ennemi était donc dans cette direction. Restant accroupi, je me faufilai entre les arbres de taille moyenne, dont les troncs avaient à peu près mon gabarit. Je perçus un sifflement. Je me réfugiai à l’abri derrière un arbre. L’arme ennemie se figea dans l’écorce. Je montai rapidement dans l’arbre grâce à ma télékinésie ; des prises immatérielles apparurent devant moi, me permettant de ne pas perdre de temps.

Assis sur une branche, j’observai le sol. Une personne sembla s’approcher. Je ne l’entendais pas, même en y mettant toute ma concentration. Quel talent exceptionnel pour dissimuler sa présence ! J’attendis qu’il s’avançât suffisamment pour être à ma portée, mis ma main en forme de pistolet et tirai sur mon ennemi et…

! Message : Votre sort n’a pas fonctionné, vous n’avez pas encore le niveau pour cette cible !

Ah mince ! Ainsi, je ne pouvais pas encore condenser les êtres vivants. Je cherchai du regard une pierre pour l’assommer. Un nouveau sifflement se fit entendre. Je reculai au plus vite sur ma branche. Une autre lance m’effleura avant de se perdre dans le feuillage. Déjà repéré ? Pas le temps, il me fallait fuir. Pratiquant la technique de télékinésie que j’utilisais déjà sur Terre pour me déplacer dans des endroits inaccessibles autrement, je m’enfuis en courant sur ma spécialité. Dès que je faisais un pas, la force télékinétique me repoussait vers le haut. De ce fait, je m’échappai en montant dans les arbres. Ce mouvement efficace pour se déplacer librement consommait beaucoup d’énergie magique. Une fois que je fus assez haut, hors de portée visuelle de mon ou de mes assaillants, je me posai sur une grosse branche pour reprendre mon souffle. Ma barre verte était presque complètement vide, et ma bleue était réduite de moitié.

« Je n’ai plus que la moitié de mon mana, ils sont coriaces. Ça doit être des monstres de type humanoïde vivant dans cette forêt, pour pouvoir rester silencieux et me repérer si vite. »

Je fermai les yeux, un peu de repos pour récupérer mon énergie. Je ne pouvais néanmoins pas dormir, alors je décidai de méditer en me concentrant sur les sons. La méditation me permettrait sans doute de régénérer du mana. J’avais déjà constaté ce fait quand j’étais encore dans la première forêt. J’écoutai le bruit du vent dans les feuillages, le chant langoureux d’un merle, les craquements des branches et des feuilles. Je perçus une rumeur d’affrontement. J’écoutai… Un tumulte causé par un combat ? Je regardais mon indicateur bleu. J’avais récupéré un peu, mais pas autant que je l’aurais voulu. Ce bruit de bataille venait d’en bas. Quelqu’un se battait contre mon ou mes assaillants ? Je descendis sur une branche un peu plus basse.

Plus loin, je vis des formes humanoïdes se faire attaquer par des gens. Je pensais à des étrangers, ennemis ou amis ? Je préférais être prudent. Je n’avais pas encore un gros niveau et j’aimerais éviter d’être tué. J’allais attendre qu’ils s’en aillent. Je restai sur la branche et m’adossai au tronc à l’abri du feuillage. J’entendais mieux d’ici. Je clos à nouveau mes yeux et repris ma méditation.

« Je crois que c’était le dernier !

— Tu crois ou t’en es sûr ?

— Maya, utilise le capteur de monstres. »

Bip Bip Bip Biiiiiip

« Il doit rester quelque chose par là-bas, le capteur dit en position haute !

— En hauteur ? » J’ouvris les yeux. Mince, un capteur de monstre ? Ils devaient parler de moi en position haute… Il fallait que je me sauve d’ici. Je commençai à tendre le bras pour monter.

« Ne bouge plus ou on te tire dans le dos ! » me dit une voix juste en bas de l’arbre. Je me retournai doucement et découvris un humain de type caucasien, vêtu d’une armure de cuir clouté. Il tenait une sorte de fusil à silex directement pointé sur moi. Il me regarda suspicieux.

« J’ai trouvé un Natif ! » annonça-t-il à ses compagnons, qui arrivèrent rapidement tandis que je n’osais bouger de ma branche.

« Ne le menace pas… » intervint un homme de bonne stature, équipé d’une cotte de mailles épaisse et d’un grand bouclier de bois renforcé de métal.

« Tu vas bien, m’sieur ? » me demanda une fille d’une vingtaine d’années de type khoïsan aux cheveux décolorés. Je les observai impassible. Puis finalement, je décidai de leur parler.

« Bonjour, étranger, finis-je par dire.

— Pfiouuu, c’est haut, comment t’es monté ? » me demanda le premier homme au fusil.

— Comme ça ! » dis-je en redescendant comme j’étais monté grâce à ma télékinésie, sous le regard bouche bée de mes observateurs. Arrivant à leur niveau, je pouvais mieux discerner leurs visages. Une quatrième personne n’était pas loin, la tête couverte d’une capuche.

« Dois-je être soulagé de vous avoir rencontrés ou devrais-je m’inquiéter pour ma vie ? demandai-je sans sourciller.

— Ho, un mage. Tu es un natif ?

— Non ! » Je décidai de ne pas entrer dans le mensonge : Mentir allait contre ma propre valeur morale.

— Un étranger mage, c’est rare. Tu dois être de haut niveau ? » m’interrogea la fille étonnée.

— Non, je suis de niveau 10 ! » continuai-je. Ils me regardèrent tous, surpris par ma franchise sans retenue. Le grand au bouclier éclata de rire.

« Je t’aime bien, t’es digne de confiance au moins !

— Un mage au niveau 10 ? En magie ou total ? me questionna l’homme au fusil.

— En magie ?

— Oui, ton niveau.

— Alors, au total, je ne sais pas à combien je suis en magie s’il y a des niveaux différents.

— Whaaa, un noob mage, je n’avais jamais vu ! s’enthousiasma la fille en me scrutant.

— Bon les filles, on taillera un morceau de gras plus tard. Faut pas trop traîner si on ne veut pas que des vicelards nous tombent dessus ! fit remarquer le tank en tournant les talons. - Allez, viens le mage ! On va sortir de la forêt et tu nous raconteras tout ça ! » m’invita la fille en suivant le guerrier, suivi par l’homme au fusil tandis que la personne encapuchonnée avait déjà pris de l’avance. Je les imitai donc, restant malgré tout sur mes gardes. Les étrangers sont tous des criminels jugés à l’exil, généralement pour les pires crimes. Nous sortîmes rapidement du bois. Le groupe se dirigea sur le chemin pendant quelques mètres avant de s’installer dans une clairière.

« Aller, c’est l’heure de manger ! s’exclama le guerrier avec joie.

— Viens nous rejoindre ! me dit la fille en faisant signe.

— On ne s’est pas encore présenté. Moi, je suis Cruel ! se présenta l’homme au fusil. Son visage mince n’inspirait aucune confiance.

— Je suis Maya, continua la fille aux cheveux décolorés.

— Bourru et la personne encapuchonnée est notre soigneuse, Myr, finit de se présenter l’homme au bouclier.

— Je suis Mac Vel ! me présentais-je en retour.

— Je peux t’appeler Mac ? me demanda la fille.

— Ça ne fait pas longtemps que tu es là, il semblerait, continua-t-elle sans attendre ma réponse tandis que ses camarades sortaient de la nourriture.

— Oui, je suis arrivé il y a une semaine à peu près.

— Ho, un noob de chez Noob ! intervint Cruel dans un rire moqueur.

— Cruel, s’il te plaît… le reprit Bourru.

— Si t’as des questions, n’hésite pas l’ami ! me sourit Bourru en me proposant ce qui semblait être un sandwich.

— Justement, tout à l’heure, vous parliez de niveau de magie ? demandais-je en acceptant la nourriture.

— Quand tu es sur ta page de statut, en haut à droite, tu as une flèche. Il suffit d’appuyer dessus pour aller sur le second onglet, m’expliqua Cruel.

— Statut »

Mon onglet s’ouvrit. En effet, il y avait une petite flèche à laquelle je n’avais pas prêté attention. J’appuyai dessus. La page s’afficha.

Général : 10 (9 %)

Fabrication : 1 (0 %) Attaque : 4 (27 %) défense : 8 (15 %) magie : 8 (75 %) réflexes/parade : 7 (54 %) Utilisation obj. technologique : 1 (0 %) Utilisation obj. magique : 1 (0 %)

Cuisine : 3 (37 %) chasse : 5 (21 %) Cueillette : 2 (12 %)

« Je vois, étrange ! Je ne suis que niveau 10 alors que si j’associe tous les niveaux, je devrais être bien plus haut…

— Tes sous-niveaux demandent bien moins d’expérience pour monter que ton général. De ce fait, tu peux très bien être beaucoup plus haut dans une des compétences que ton niveau général, me répondit Cruel.

— Il n’y a que trois métiers ? m’informai-je.

— Il y a une quantité infinie de métiers. Si tu veux être charpentier, tu le peux par exemple. Ce sont les emplois que tu as exercés qui apparaissent dans ton statut, m’expliqua le Tank.

— Je comprends. Vous êtes de quel niveau ?

— Hé ben Mac ! Direct comme ça ? me répondit Maya.

— En fait, en général, c’est quelque chose qu’on ne demande pas, car connaître le niveau d’un autre étranger peut nous mettre en danger.

— Que veux-tu dire ?

— Disons que tu nous as menti, on te donne nos niveaux et hop, tu nous butes en ayant un niveau supérieur au nôtre ! Ou bien l’inverse, nous qui sommes supérieurs à ton niveau, pourrions faire de toi une source d’xp , m’expliqua Cruel.

— Je vois, ce monde est donc aussi impitoyable que je le pensais.

— Et oui, pas pour rien qu’on a été condamnés ici, mais t’inquiète Mac, on ne va pas te tuer, moi je suis niveau 14, me rassura Maya. Je lui souris en retour.

— Que faisais-tu dans le coin ? me questionna Bourru.

— J’étais en train de faire une quête.

— Une quête ? Genre comme dans les RPG ? » s’exalta Maya. Ils me regardaient tous comme si je venais de dire quelque chose d’incongru.

« Heu… J’ai dit quelque chose d’étrange ?

— On ne savait pas qu’on pouvait faire des quêtes ! précisa Cruel.

— Tu l’as eu où ? Ça consiste en quoi ? Quelle est la récompense ? me questionna Maya.

— C’est… le bibliothécaire d’El Virqu’ qui m’a demandé de récupérer des caisses de livres dans le campement de bandit un peu plus loin à l’ouest », répondis-je.

Ai-je fait une bourde en parlant de ma quête ? Les autres criminels n’ont pas de quêtes ? En même temps, c’est la première fois que je rencontre d’autres étrangers avec qui discuter, donc je ne sais pas ce qui est normal ou pas ici.

« Un campement de criminel… tu dois parler du camp de vicelards.

— On peut t’aider, mais partageras-tu ta récompense avec nous ? me demanda Cruel.

— La récompense, c’est des cours de lecture, répondis-je.

— Houaaaa la chance, moi je suis encore en train d’économiser pour pouvoir apprendre, 1 po ce n’est pas donné ! se plaignit Maya.

— Perso, j’ai trouvé moins cher de l’autre côté de l’île, à la cité portuaire d’Eqveq, seulement 75 pa ! informa le guerrier.

— Une île ? demandai-je. Ils me regardèrent surpris.

— T’es vraiment un noob toi ! me répéta Cruel.

— Alors voilà, je vais t’expliquer. Sur ta map, tu as aussi une flèche en haut à droite te permettant de voir la carte plus élargie, et ensuite encore une autre affichant celle du monde. Ceci dit, tu ne peux pas les avoir dans ton interface si tu n’achètes pas les cartes correspondantes au magasin général ! m’expliqua Maya.

— Map ! »

Ma carte s’ouvrit. En effet, j’avais une flèche en haut à droite. J’appuyai dessus, elle s’élargit, toutes en hologramme bien sûr, sauf une petite partie que j’avais découverte. J’activai une seconde fois l’indicateur et découvris celle du monde, de nouveau tout en transparence.

« Et donc nous sommes sur une île ? demandai-je confirmation.

— Oui, l’île se nomme l’île du portail.

— Je pense deviner pourquoi, répliquai-je.

— On fait quoi les gars ? On aide notre noob ? interrogea Cruel.

— C’est vrai que le laisser seul pourrait être dangereux à son niveau ! prit en considération Bourru.

— Ho oui, ho oui, allons-nous amuser avec lui ! s’excita Maya.

— Hum ! hocha de la tête Myr.

— Alors c’est décidé, on va t’accompagner, et si tu peux partager ta récompense avec Maya et Cruel, ça serait cool.

— Je n’ai pas besoin de savoir lire ! se plaignit Cruel.

— Et si c’est gratuit ? lui rétorqua Bourru.

— Si c’est gratuit, c’est différent ! » Ils rirent de bon cœur. Me voici donc dans un groupe. Ils sont sympathiques. J’espère que je n’aurais pas à les tuer.

FICHE D’INFORMATION

LE VICELARD

Les vicelards sont des créatures primitives carnivores dotées d’une certaine intelligence qui vivent en meute plus ou moins organisée.

Le corps d’un vicelard est humanoïde de taille moyenne (entre 1 mètre 40 et 1 mètre 60). Il se déplace sur ses pattes arrière et ses pattes avant sont dotées de mains à pouce opposé pouvant manipuler n’importe quel outil ou arme rudimentaire.

Son pelage est court, d’une couleur marron grisonnante. Un groin à la place du nez lui donne une face renfrognée. Il reste primitif sans vêtement au-dessus de la taille ; des pagnes de tissus sont leur seul habillement.

Les vicelards parlent leur propre langage. Ils vivent généralement en meute d’environ 15 à 20 membres, le plus fort du groupe étant le chef.


Texte publié par Arnaud, 7 aoĂ»t 2025
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