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volume 1, Chapitre 5 « Spirituel liĂ© » volume 1, Chapitre 5

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5. Spirituel lié

Numéro d’ID : 8536

Pseudonyme : Mac Vel.

Race : Humain

Niveau total : 15.

Attributs : 0 (disponible)

FO : 12

CO : 25

AGI : 20

INT : 31

SAG : 22

CHA : 18

Niveau d’emplois (3) : Mage (17)

Pourcentage en magie : 69

Pourcentage en technologie : 31

Réputation : El Virqu’(215) Eqveq (67)

Spirituel lié : Aucun (1 disponible)

Point de vie max : 510

Point de mana max : 962

Magie :

manipulation : Télékinésie Moyenne (7/10), Condenser moyen (3/10), Densité (5/5)

Technologie :

armure : Tissu moyen (4/6), cuir (3/3)

arme : Poignard (2/4) Chimiste de combat moyen (3/10)

Emplois :

Cuisine : griller (1/2), Plats légers (15/25), Bouchère (3/3)

Chasse : Dépeçage (3/3)

Savant en écriture : Commun de Beldan moyen (5/6) Vicelard (1/3)

Points de compétences disponibles : 0

Général : 15 (18 %)

Emplois

Attaque : 4 (27 %) défense : 10 (5 %) magie : 17 (28 %) réflexes/parade : 10 (38 %) Utilisation obj. technologique : 1 (0 %) Utilisation obj. magique : 2 (52 %)

Cuisine : 13 (21 %) chasse : 9 (12 %) Cueillette : 4 (36 %) Commerce : 7 (77 %)

Quatre mois s’étaient écoulés depuis ma quête pour récupérer les livres chez les bandits. J’avais atteint le niveau 15 et possédais une bonne connaissance du langage commun du continent central, nommé Beldan, celui auquel appartenait l’île du portail.

« Tu es sûr de vouloir partir ? me demanda le bibliothécaire.

— Oui, j’ai atteint le niveau requis pour avoir mon premier spirituel lié. Je dois partir en chasse si je désire en trouver un correct.

— Je comprends. En tout cas, ces quelques mois passés en compagnie d’un disciple aussi talentueux que toi ont été agréables pour le vieil homme que je suis, me dit-il.

— Tu te souviens des catégories de magie et de leurs liens avec les spirituels ? me demanda-t-il.

— Oui, bien sûr ! À bientôt maître, nous nous reverrons sans aucun doute ! » lui répondis-je en m’inclinant respectueusement. Vêtu d’une cuirasse de cuir, comme un étranger ordinaire, afin de ne pas attirer plus l’attention que nécessaire. Je sortis de la bibliothèque, une légère pointe de regret de quitter cet endroit paisible.

La magie de ce monde repose principalement sur les éléments fondamentaux : la terre, le feu, le vent, l’eau, la lumière et les ténèbres. À cela s’ajoute une catégorie distincte, nommée Spécialité non classée, à laquelle appartient ma télékinésie de manipulation.

Les spirituels liés ont la capacité de déverrouiller la magie propre à leur élément. Certains d’entre eux combinent plusieurs éléments ; par exemple, un spirituel de terre et de feu engendrera l’élément lave, ouvrant ainsi l’accès aux sorts de type lave et fusion. Pour les étrangers, majoritairement versés dans la technologie, un tel spirituel se révélera précieux pour la forge, offrant des avantages significatifs dans leur pratique et conférant des dégâts thermiques de fusion aux armes tranchantes. Un spirituel peut également se manifester comme monture ou compagnon d’armes. Son choix doit donc être mûrement réfléchi en fonction de la voie envisagée, d’autant plus qu’il est impossible de le changer, sauf en cas de décès de celui-ci. On peut en acquérir trois : le premier au niveau 15, le second au niveau 45 et le dernier au niveau 100. Bien qu’il soit théoriquement possible d’en obtenir d’autres au-delà, rares sont les grands aventuriers ayant dépassé le niveau 110. Pour ma part, je n’avais pas encore arrêté mon choix sur les éléments qui guideraient mon évolution en tant que mage.

À Eqveq, la seconde ville de l’île et cité portuaire, on pouvait embarquer pour le continent de Beldan, un carrefour de magie et de technologie. Au-delà s’étendaient Graphe, le territoire technologique, et Uruel, le domaine magique. Chacun de ces continents abritait diverses nations, riches de leurs propres histoires, conflits et systèmes législatifs.

Les gens du hameau d’El Virqu’ me saluèrent chaleureusement. Après tout, j’avais vécu quatre mois ici, en accomplissant des tâches plus ou moins importantes et en faisant du commerce. On pouvait acquérir des quêtes en obtenant une certaine réputation, soit individuelle, soit de groupe. J’aurais pu faire comme tous les étrangers que je voyais passer : me dépêcher de gagner des niveaux et partir sur le continent sans rien connaître de ce monde. Au lieu de ça, j’avais fait le choix de prendre mon temps. J’avais beaucoup lu, connaissais dorénavant pas mal de choses sur les plantes, les animaux, les monstres ou les cultures d’Istrul. Ceci dit, la faculté des personnes à s’attacher est toujours la même, que ce soit sur Istrul ou sur Terre. C’est quelque chose que je ne comprenais toujours pas. Au bout d’une journée de marche, j’arrivai enfin au village portuaire d’Eqveq. Le soir tombait. Je me dirigeai vers le centre de la ville et entrai dans l’auberge de la place.

« Tiens donc, un revenant ! Bonsoir, sir Vel ! me dit la tenancière sous le regard des étrangers et des natifs buvant au pub de l’auberge.

— Je peux avoir une chambre ? réclamai-je.

— Bien sûr, pour combien de nuits ?

— Une seule ! lui répondis-je.

— Tu ne restes pas longtemps cette fois-ci ! me fit-elle remarquer.

— Manque de stock ? continua-t-elle, curieuse comme à son habitude.

— Je ne suis pas venu pour le marché aujourd’hui, je vais juste prendre le bateau pour le continent demain matin ! satisfis-je sa curiosité.

— Tu nous quittes dé… une voix derrière moi l’interrompit.

— Ne serait-ce pas ce cher Mac ? » Je me retournai et me retrouvai face à un étranger que je connaissais, un concurrent commercial, dira-t-on…

— Que veux-tu ? lui lançai-je froidement, en prenant la clef de ma chambre.

— Si tu t’en vas de l’île, alors vends-moi ta recette pour les balles explosives ! me dit-il, les yeux pétillants de cupidité.

— Dans tes rêves ! lui répondis-je en tournant les talons et en montant l’escalier en bois.

— Viens pas emmerder mes clients, trou du cul ! » lui cria la tenancière tandis que je rejoignais ma chambre.

Le lendemain, je me rendis au port et découvris l’immense galion qui allait traverser la mer interdite. Elle est, soi-disant, infestée de monstres de toutes sortes. Il n’était pas rare que les étrangers soient mis à contribution pour la défense du navire. Je me présentai donc à la passerelle d’embarquement. Le garde posa une main sur mon épaule pour m’évaluer.

« Tout juste le potentiel pour passer ! Tu veux être voyageur pour une modique somme de cinq pièces d’or ou collaborateur ? » me demanda-t-il.

Suivant les conseils du bibliothécaire, il fallait être minimum niveau 15 pour quitter l’île, et certains monstres de la mer interdite possédaient des éléments rares. Pour pouvoir les affronter et ainsi les transformer en spirituels, il faudrait devenir collaborateur de la défense du navire, même si cela pouvait être risqué. Bon nombre d’entre eux n’arrivaient pas au bout du voyage.

« Collaborateur, s’il vous plaît ! répondis-je au garde.

— Ton nom ? me réclama-t-il en sortant un calepin.

— Mac Vel.

— Pour avertissement, sache que quoi qu’il arrive, la société de transport « Novions » ne sera en aucun cas tenue pour responsable en cas d’accident grave entraînant un handicap ou la mort ! À chacun sa destinée, si tu meurs, ce sera de ta faute parce que tu manques de force ! Veux-tu toujours devenir un collaborateur ?

— Oui ! affirmai-je.

— Bien, passe la passerelle et prends à gauche, descends en cale, le chef de sécurité attend les collaborateurs », m’indiqua-t-il. Je le remerciai et avançai dans l’enceinte du navire.

— Encore un sans le sou qui va être donné en pâture aux monstres ! » dit le garde pour lui-même, alors que je m’éloignais.

J’entrai dans une cale sombre éclairée par des fioles lumineuses. Un groupe d’une quinzaine de personnes était déjà rassemblé au centre de celle-ci. Ils semblaient attendre. Je m’avançai, on me dit de patienter jusqu’à la fin de l’embarquement. J’observai autour de moi. Quelle ambiance maussade ! Les étrangers étaient démoralisés avec des regards d’anxiété et de crainte. Sans doute n’avaient-ils pas eu le choix par manque de moyens financiers. Il est vrai que cinq pièces d’or représentent une somme pour un étranger lambda qui s’était dépêché de monter de niveau pour aller sur le continent. Après tout, tout comme moi, ce sont tous des meurtriers, des voleurs et autres déchets provenant de la Terre.

Je m’installai un peu à l’écart, assis en tailleur, appuyé contre une caisse. Je décidai de me reposer en attendant et fermai les yeux, ignorant les regards méprisants autour de moi. J’entendais les râles des autres étrangers critiquant ma désinvolture. La traversée durait deux semaines. Dès que l’on pouvait prendre du repos, il fallait le faire. C’était ma façon de voir les choses.

« Étrangers ! Le départ va avoir lieu, approchez-vous ! » clama une voix posée. J’ouvris les yeux. Un natif équipé de cuir renforcé d’acier reluisant se tenait debout sur une caisse.

« Je vous préviens, vous allez mourir ! Il vous reste une dizaine de minutes pour changer d’avis et descendre du bateau ! » ajouta-t-il avant de s’asseoir sur la caisse en jouant avec un couteau. Les étrangers autour de moi se regardèrent. Certains hésitèrent, d’autres sortirent de la cale. Il me semblait que seuls les plus élevés en niveaux étaient restés dans la pièce. Je bâillai et refermai les yeux.

« Et toi ! » m’interpella une voix grave. J’ouvris les yeux. Un grand type chauve, avec un air menaçant, armé d’une masse d’arme aussi grosse que sa tête, me regardait de haut.

« Je t’observe depuis le début, tu sembles bien détendu pour un faible niveau ! me dit-il.

— Et ? demandai-je avec décontraction.

— Sales avortons ! Comment oses-tu être si désinvolte ! me menaça-t-il en serrant son poing sur le manche de sa masse.

— Pas de combats sur le navire ! intervint le chef de sécurité avec force.

— Nous nous reverrons, insolent. Je te ferai ravaler ta fierté ! » continua le grand chauve en s’éloignant. Je haussai les épaules avec légèreté, ce qui eut le don de l’énerver encore plus. Il s’écarta, au bord de l’explosion nerveuse. Je sentais le regard du chef de sécurité sur moi, comme ayant pitié d’un condamné à mort. Le bateau commença à bouger.

« Bien, ceux qui restent seront donc en charge de la défense du navire. Pas d’inquiétude, diverses batteries magiques servent de premier rempart. Néanmoins, si des monstres marins arrivent à s’approcher, vous devrez donner vos vies pour nous défendre ! La rémunération est d’arriver sur le continent de Beldan ainsi que deux pièces d’or. Soyez réactifs et essayez de ne pas mourir trop tôt ! Venez chacun à votre tour chercher vos positions respectives ! » dit le chef de sécurité. Je m’approchai et reçus une place sur le fanal de poupe, à l’arrière du bateau. Durant les premiers jours, divers petits monstres attaquèrent le vaisseau, mais rien de bien méchant. Les tourelles magiques s’en chargeaient. Nous ne faisions qu’observer. Un soir, alors que j’étais de garde, je reçus une visite des plus déplaisantes…

« Alors l’avorton, tu te souviens de moi ? » Je me retournai et découvris une vieille connaissance : crâne chauve et sa masse d’arme.

« Que veux-tu ? lui dis-je sans même franchement faire attention à lui.

— Encore ton petit air arrogant ! Vas-tu continuer longtemps ? Je vais te défenestrer ici même !

— Ho ? Tu veux te battre ? Est-ce autorisé ? Demandai-je, un air narquois.

— Autorisé ou pas ! » Il me fonça dessus avec sa masse d’arme. N’étant pas un grand combattant, je savais que je n’avais pas le temps d’esquiver. La meilleure défense étant l’attaque, j’attaquai !

Le manche de la masse d’arme qu’il tenait en l’air pour me donner un coup disparut. Une bille roula par terre tandis que l’acier de la tête de l’arme tomba lourdement sur le dos de mon adversaire.

« Maudit, qu’as-tu fait ? me demanda-t-il tout en sortant une dague acérée de sa ceinture tout en se relevant.

— Tu n’attends même pas la réponse ? » demandai-je en reculant près de la barricade me séparant de la mer, une quinzaine de mètres en dessous.

« Crève ! cria-t-il, les yeux gorgés de sang et de haine, en s’élançant, son poignard en avant.

— Densité moins ! » murmurai-je. La charge de mon détracteur fut arrêtée alors que ses pieds décollaient du sol. Son grand corps musclé fit une vrille dans le ciel et continua dans l’élan de la course précédente jusqu’à se retrouver au-dessus de l’océan. « Laisse-moi descendre ! Je te promets que je ne ferai plus rien ! supplia-t-il.

— Si tu veux, densité originale ! » lui répondis-je.

Reprenant son poids d’origine, il tomba dans la mer sombre en cette nuit étoilée. Je fis disparaître les preuves du combat en jetant la tête de masse dans l’océan.

En regardant en bas, une drôle de sensation me saisit. Il y avait quelque chose qui nous suivait ! Mais je ne voyais rien, il faisait bien trop sombre.

Le lendemain, le chef de sécurité cherchait le gros baraqué qui n’avait pas pris son poste de garde, sans jamais le retrouver. Une semaine et demie s’était écoulée depuis notre départ. Aucun monstre plus important ne nous avait attaqué, pourtant, toujours cette sensation dès que je regardais en direction de l’océan à la poupe du bateau. Le crépuscule approchait ce jour-là, quand l’alarme retentit. À la proue du navire, une sorte de calamar géant ayant des pinces de crabe nous barrait le passage. Les tourelles magiques n’avaient pas suffi. Le céphalopode avait été endommagé, mais pas assez pour le tuer. C’est là que les étrangers entraient en jeu ! Je reçus néanmoins l’ordre de rester sur la poupe pour surveiller et éviter d’être pris en sandwich entre deux monstres.

Alors que, depuis ma position, je pouvais regarder le spectacle du combat acharné des étrangers face à ce monstre de type eau et terre, soit boue, plutôt commun dans la mer, je sentis une présence hostile derrière moi. Je me retournai juste à temps pour éviter un coup mortel, faisant une roulade sur le côté. Mon bras avait subi l’attaque ! Il était immobile et du sang s’écoulait de celui-ci sur le plancher du bateau. J’inspectai la chose qui m’avait blessé : un slime ? Un slime noir ayant des marbrures jaunes sur son corps lisse et gélatineux.

Malgré tous les ouvrages sur les monstres que j’avais lus, je n’avais jamais entendu parler d’un slime comme celui-ci, surtout de cette taille. Il faisait facilement la dimension de la moitié de la poupe. En son centre, par transparence, je pouvais à peine distinguer le seul point faible des slimes : son noyau. Je jetai un œil vers la proue. Tous les autres étrangers et guerriers du bateau étaient occupés avec les différents tentacules du calamar. J’étais seul face à ce gros gluant ! Je souris. Était-ce un mal au final ? Je tendis mon bras gauche encore valide.

« Conden… » Je n’eus pas le temps de finir.

L’attaque fulgurante me loupa de justesse tandis que je sautais en arrière. Les slimes en général ne craignent pas les attaques physiques ! J’utilisai ma télékinésie pour le repousser contre la barrière de bois, mais tout ce que je pus faire, ce fut de l’immobiliser, sans qu’il ne bouge d’un pouce.

« Densité moins ! » dis-je. Le slime commença à s’élever un peu dans les airs. Mon niveau n’était pas assez élevé pour modifier davantage une masse si importante. Au moins, il ne touchait plus le sol et ne pourrait plus avancer vers moi. Il m’attaqua. Alors que je voyais arriver la forme sombre de matière gélatineuse vers moi, une pensée me vint à l’esprit.

Je ne peux pas mourir ici ! Alors, d’un geste de la main, j’arrêtai son attaque directement devant moi !

! Alerte ! Vous gagnez un niveau en télékinésie, votre compétence est désormais télékinésie de rang élevé (1/15) !

Ayant bloqué l’attaque du slime, j’utilisai le sort condenser sur son noyau qui disparut dans une petite bille. Le corps flasque s’effondra sur lui-même, ne laissant qu’une grande flaque gluante de matière gélatineuse sombre sur le sol de la poupe. M’écroulant, assis contre le mât d’artimon, j’utilisai ma télékinésie pour faire venir à moi le noyau condensé du slime. Celui-ci brillait d’une couleur azur.

Comment avais-je pu passer au rang élevé en télékinésie ? Je regardais la bille quand j’entendis quelqu’un arriver en courant ; je la plaçai dans mon inventaire. Le chef de sécurité arrivait.

« Que s’est-il passé ? me demanda-t-il en regardant le sol gluant de la poupe et mon bras ensanglanté.

— Un slime géant a attaqué ! lui répondis-je en me tenant le bras pour faire pression sur l’artère afin de stopper le saignement.

— Un slime ? » me dit-il, dubitatif. Il regarda la poupe emplie de gélatine et ne remit pas ma parole en doute. Il donna l’ordre que l’on me soigne.

Me retrouvant dans la cale en compagnie des autres blessés, mon bras fut soigné assez aisément grâce à un artefact triangulaire. Je pus m’éloigner de mes collègues étrangers et soigneurs. Je trouvai un endroit tranquille entre deux grosses caisses sous l’escalier et ressortis la bille scintillante bleu azur.

« Décondense ! » dis-je. Le noyau apparut dans ma main. Il scintillait d’une lueur bleutée douce et sereine. Un message s’afficha devant moi :

! Vous venez de trouver un objet possédant un spirituel, voulez-vous le libérer ? Vous pourrez alors soit vous l’associer, soit le libérer des contraintes terrestres. !

Un spirituel ? Que devais-je faire ? Si je garde le noyau, je pourrais sans doute le vendre et obtenir un bon prix. Mais en même temps un slim qui n’apparaît dans aucun livre…

« On verra bien ! OK » Le noyau se disloqua devant moi, laissant apparaître un petit slim noir marbré de jaune de la taille d’une boule de pétanque, une fenêtre d’information apparut.

Type : Spirituel (non lié)

Nom : Aucun

Race : Slim orageux des grandes mers

Niveau : 3

Rareté : S+

Éléments : Électrolyte (eau+électricité)

Résistance octroyée : Électricité (150 %)

Avantage métier : Tous les métiers utilisant l’électricité comme base.

Sort offensif octroyé : Fluber foudroyant

« Ho ? Rareté S+, il n’est que niveau 3, je suppose qu’il va falloir que je l’entraîne !

— Lier le spirituel ! » dis-je pour moi-même.

Dans Istrul, les objets et les monstres sont évalués dans des catégories de rareté allant de la lettre F pour le médiocre, en montant à A pour les légendaires, puis du S à S+++ pour les super extraordinaires. Le slime me tendit une portion de son corps en forme de bras, comme pour me serrer la main. Je pris le morceau de gluant. Je sentis une chaleur électrique emplir mon corps.

Une fenêtre s’afficha :

! Vous venez d’obtenir un Spirituel lié. Celui-ci vous donne accès à une certaine catégorie de sorts, ainsi qu’à ceux spécifiques à son espèce. Obtenez une bourse ou un anneau spirituel et vous pourrez l’invoquer ou le désinvoquer à volonté. En évoluant, votre spirituel pourra obtenir des capacités supplémentaires et devenir une monture suivant le cas. Vous ne pouvez changer de spirituel lié. Votre prochain spirituel lié sera disponible au niveau 45 !

Numéro d’ID : 8536

Pseudonyme : Mac Vel

race : Humain

Niveau total : 15

attributs : 0 (disponible)

FO : 12

CO : 25

AGI : 20

INT : 31

SAG : 22

CHA : 18

Niveau d’emplois (3) : Mage (17)

Pourcentage en magie : 71

Pourcentage en technologie : 29

Réputation : El Virqu’(215) Eqveq (67)

Spirituel lié : Slim orageux des grandes mers

Point de vie max : 510

Point de mana max : 962

Résistance : électricité 150 %

Magie :

électricité : Toucher électrique (0/5)

manipulation : Télékinésie Élevée (1/15), condenser moyen (3/10), Densité (5/5)

spirituel : Fluber foudroyant (1/25)

Technologie :

armure : Tissu moyen (4/6), cuir (3/3)

arme : Poignard (2/4)

Chimiste de combat moyen (3/10)

Électricien : 0/5

Emplois :

Cuisine : griller (1/2), Plats légers (15/25), Bouchère (3/3)

Chasse : Dépeçage (3/3)

Savant en écriture : Commun de Beldan moyen (5/6) Vicelard (1/3)

Points de compétences disponibles : 0

FICHE D’INFORMATION

LE SPIRITUEL LIÉ

Les spirituels liés sont des êtres non vivants, des restes de monstres ou d’êtres.

Les différentes races d’Istrul peuvent se lier avec l’âme des morts et en faire leur spirituel lié. Ils prennent forme physique grâce à un contrat avec l’utilisateur.

Ce contrat apporte divers avantages, que ce soit l’acquisition de nouvelles compétences ou magies, ou un moyen de transport et un compagnon d’armes.

Les spirituels liés peuvent donc prendre différentes formes suivant ce qu’ils étaient de leur vivant. Un spirituel lié est unique à son utilisateur.

Un spirituel lié ne vieillit pas et reste le même qu’au moment du contrat, il fait preuve d’une fidélité à toute épreuve envers son contractant.


Texte publié par Arnaud, 7 aoĂ»t 2025
© tous droits réservés.
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