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tome 1, Chapitre 6 « Une alliée ? » tome 1, Chapitre 6

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Chapitre 6 : Une alliée ?

Nous étions cachés dans un fourré, au sommet d’une petite colline, observant de loin la troupe de soldats qui nous cherchait dans la forêt.

« Qui sont-ils ? » me demanda doucement Cinnus.

— Aucune idée, mais si je devais faire une supposition, je dirais des soldats du royaume, répondis-je en chuchotant.

— Pourquoi en ont-ils après nous ?

— Je pense que j’ai vu quelque chose que je n’aurais pas dû.

— C’est-à-dire ?

— L’enlèvement d’un prince par ses subordonnés. Je crois que c’est un coup d’État.

— Vous êtes si compliqués, vous autres, les humains… soupira le Umas.

— On n’y peut rien. On se veut intelligents, mais nous restons des mammifères cherchant à dominer les autres de notre espèce. Dans le règne animal, c’est généralement la force qui domine, et chez les humains aussi. Mais c’est sans compter les soutiens et les alliances. Pour être chef, il faut utiliser non seulement sa force et son pouvoir, mais aussi son intelligence, expliquai-je philosophiquement à mon ami animalier.

— C’est ce que je dis, vous compliquez toujours tout !

— Chez nous, les vieux sont sages et ont l’expérience de leur vécu, donc ce sont eux qui dirigent et nous permettent d’avancer. De plus, les anciens meurent facilement et sont généralement remplacés rapidement par leurs successeurs. Chez nous, tout est question d’âge et d’expérience de vie, continua le Umas.

— Ce qui est logique, mais ici, on n’y peut rien. Je ne pense pas qu’ils lâcheront l’affaire si facilement, ris-je en réponse.

— Nous devons trouver un moyen de nous casser d’ici, me dit Cinnus.

— Process ? appelai-je.

— Voilà qu’il recommence à parler tout seul… ronchonna le Umas.

— Trouve-nous une cache assez proche, demandai-je.

— Scanning en cours… me répondit la voix robotique.

— Processus analytique terminé : un espace souterrain a été repéré à trois kilomètres au nord-nord-est.

— On bouge, Cinnus. J’ai trouvé une planque pour le moment, dis-je au Umas.

J’avais vu un prince se faire enlever par des soldats de son propre royaume. Qu’est-ce que cela pourrait être, sinon un coup d’État ? Je ne voulais surtout pas m’impliquer dans cette affaire. Mon seul but était de retourner chez moi. Mais si l’occasion se présentait, j’éclaircirais les choses avec ces soldats…

Au bout de trois quarts d’heure de marche prudente entre les arbres, nous arrivâmes à destination.

Restant à couvert du bois, j’observai l’entrée de la grotte. Un être humanoïde de grande taille, environ 1m90, avec de longs poils roux, surveillait les environs. Sur sa tête trônait une paire de cornes noires, tandis que sa large mâchoire laissait entrevoir des crocs acérés. Il ressemblait un peu à un yéti, mis à part la couleur de son pelage.

Je regardai ma map : une centaine de points verts. Ce ne pouvait donc pas être des êtres agressifs, malgré leur apparence sauvage.

— Je crois que j’ai déjà rencontré cette espèce lors de notre dernière migration saisonnière, me dit Cinnus.

Il se leva et avança pour sortir du bois où nous nous cachions, à une distance raisonnable de l’entrée de la grotte.

— Qu’est-ce que tu fais ? demandai-je, inquiet.

— Aie confiance en moi, me répondit le petit bonhomme.

Il s’avança seul vers le yéti.

— Torgash nissti pragma struff ? Irr gistr arffud mârgue ! dit le Umas sous l’œil observateur de son interlocuteur.

— Torg marnis irna crov, répondit le yéti en montrant derrière lui l’entrée de la grotte.

Aussitôt, le Umas me fit signe de le rejoindre.

Je sortis du bois en expirant profondément.

— Aie confiance, qu’il a dit…

Nous entrâmes dans la grotte sans que le yéti, un peu plus grand que moi, ne réagisse.

— Ce sont des alaghe. Dans ma tribu, il existe une légende : à l’origine, ma race vient du même monde qu’eux.

— C’est pour ça que tu as pu lui parler ?

— Oui, lors de notre dernière migration, nous avons rencontré une famille de cette espèce. Ils nous ont expliqué qu’ils avaient quitté leur donjon pour survivre. Contrairement aux espèces hostiles et invasives, cette espèce est plutôt pacifique.

— Mais alors, si je comprends bien, Cinnus, ta race est arrivée par l’intermédiaire d’un donjon ?

— Oui, du moins c’est ce que dit la légende. Enfin, il a accepté que nous nous cachions quelque temps dans leur donjon, me dit le Umas avec un sourire fier, tandis que je perçus sur ma map les points rouges de nos poursuivants se rapprocher.

~~~

Pierre de Virdis marchait d’un pas rapide dans un des couloirs de marbre blanc du temple de la ville de Bruvére. Il venait d’arriver de la capitale grâce au CTM (Cercles de Transport Magique).

Tenant dans sa main gauche le pommeau de l’épée rangée sur son flanc, il ouvrit la porte de son bureau.

— Marquis ! se courba un homme d’un certain âge. C’était Marius, son fidèle serviteur depuis plus de 40 ans.

— Marius, comment cela s’est-il passé ? demanda Pierre en s’asseyant à son bureau en bois rouge sombre.

— Comme convenu ! La cible a été emmenée en lieu prévu. Néanmoins, le capitaine Rodville m’a informé qu’un témoin potentiel était apparu.

— Un témoin ? C’est gênant… Quelles mesures ont été prises ?

— Les soldats n’ayant pu voir qu’une ombre, un oracle a été dépêché sur place. Il s’agit d’un chasseur d’un certain âge, récemment apparu dans la région. Son nom est Fanel Frozz ! Nous avons son descriptif dans ces documents, précisa-t-il en donnant un dossier au marquis.

— Un chasseur, hein… Et si on le liait aux Rainevars dans cet enlèvement ? On en fait un complice et on laisse le second prince le chasser, proposa Pierre.

— Excellente idée, digne de vous, Seigneur, honora le majordome d’une courbette.

— C’est décidé. Fais un rapport dans ce sens aux gardes royaux du palais de Roseville.

— Et concernant les Estrayants ? continua-t-il.

— Nos accords suivent leur cours. Nous allons pouvoir compter sur eux, même si le roi régent ne désire en aucun cas se mêler à nos projets. Le prince héritier est plus cupide que son père, nous devrions pouvoir le manipuler.

— Bien, continue ! dit Pierre en faisant signe au majordome de sortir.

Le majordome quitta la pièce pour transmettre les informations erronées.

Le marquis tourna la tête vers un coin sombre de son bureau, entre deux bibliothèques bondées de livres divers, sur une table haute d’à peine quinze centimètres de rayon, un petit être aux ailes repliées et aux yeux espiègles le regardait.

— Hum… il ne faudrait pas contrarier ses plans… murmura-t-il.

~~~

Un groupe de six chasseurs, composé de trois humains, de deux Rainevars et dirigé par un Estrayant aux cheveux bleu sombre, s’avançait vers le donjon des gnolls, au sud-ouest de Bruvére.

« Piérick, tu crois qu’ils nous attendent au donjon ? Ils auraient dû nous laisser un message à la guilde des chasseurs de Bruvére, non ? » demanda un des Rainevars.

— J’ai un mauvais pressentiment à ce sujet, intervint une humaine aux habits clairs, équipée d’un bâton.

— Ne parle pas de malheur… Ha, mon beau Ruel ! s’exclama un autre humain, un guerrier vêtu d’une cotte de mailles et armé d’une hallebarde.

— Toujours aussi amoureux ! ria le second Rainevars, tenant sa masse à deux mains sur son épaule.

— Chut, taisez-vous, le chef doit être inquiet pour Réna, reprit la jeune femme.

— On verra quand on y sera, répondit la voix chanteuse de l’Estrayant.

Une heure plus tard, ils arrivèrent au donjon, complètement vide. Après plus d’une heure de recherches aux alentours, ils finirent par retrouver des restes calcinés d’humains.

« Vector, tu peux les identifier ? » demanda l’Estrayant à un des humains vêtu d’une robe de cuir sombre. C’était le nécromancien du groupe, spécialisé dans les magies de mort et malédictions ; l’identification des ossements faisait partie de son domaine de compétence. Il chanta doucement, tenant son bâton au-dessus des ossements noircis. Une vision des visages des cadavres lui vint à l’esprit. Il confirma ensuite son identification aux membres du groupe.

« Quoi qu’il se soit passé, nous ferons payer ces morts ! » dit froidement Piérick, tandis que le guerrier en cotte de mailles pleurait déjà la mort de son petit ami.

~~~

Quinze jours plus tard.

Je fis encore une brassée vers le rivage. Que c’était agréable de nager à la fraîche.

Nous avions installé le camp au bord d’un petit lac à l’eau claire, alimenté par un ruisseau qui s’écoulait plus au sud.

Je sortis de l’eau sous le soleil levant du matin. Il faisait encore frais, mais cela revigorait le corps, surtout après ces quinze jours enfermés dans ce donjon. Les Alaghes nous avaient nourris et laissé dormir sans problème, mais rester cloîtrés… Je comprenais pourquoi la plupart des monstres de donjon étaient agressifs…

Cinnus sortit de la tente en se frottant les yeux de paresse.

Après m’avoir vue nue, il fit cette réflexion :

« Je n’ai jamais compris pourquoi votre race n’avait pas de pelage…

— C’est l’évolution, lui répondis-je.

— Une évolution ? Obligés de tuer d’autres animaux pour récupérer leurs fourrures ou leur cuir pour vous en vêtir, tu appelles ça une évolution ? Il aurait mieux valu que vous gardiez vos pelages, à mon avis, me fit-il remarquer en se toilettant à la manière d’un chat.

— En plus, c’est quand même plus beau d’avoir un pelage soyeux comme le mien que d’être nus comme des vers. Ça cache les cicatrices aussi, continua-t-il, vantant son pelage tout en désignant les multiples cicatrices recouvrant mon corps.

— C’est sûr. Hélas, je ne peux rien y faire. Alors je vais me couvrir, répondis-je en me dirigeant vers ma combinaison noire étendue dans la tente.

— Tu ne m’as toujours pas expliqué ce qu’est cette tenue. Comment se fait-il que j’aie l’impression d’avoir du mal avec ma vue quand je la regarde ?

— C’est une tenue de camouflage. Elle ne réfléchit aucune lumière. De ce fait, ta vue est troublée, car la vue se sert des reflets lumineux pour distinguer distances, formes et mouvements. Cette tenue me permet de me dissimuler totalement dans les ombres, ça complète ma compétence.

— Compétence ? Ce n’est pas une magie ?

— Je te l’ai dit : je viens d’un autre monde. Il n’y a pas de magie, mais des compétences, expliquai-je en finissant de m’habiller.

J’observai le Umas faire sa toilette près du feu presque éteint.

— Tu ne vas pas remettre du bois ?

— Chaque chose en son temps. Tu as nagé pour te nettoyer, moi je fais ma toilette avant d’attaquer cette nouvelle journée, me dit-il, sans sembler gêné.

Je soupirai et partis chercher du bois dans la forêt près du petit étang que nous avions trouvé la veille.

Je ronchonnais pour moi-même pendant ma collecte de combustible quand j’entendis un cri aigu.

Je lâchai les fagots au sol tandis que mon masque se rétractait sur mon visage. M’infiltrant dans les ombres de la forêt, je me dirigeai rapidement vers le cri.

— Lâche-moi ! Que comptes-tu faire ?

— N’est-ce pas évident ? On va jouer avec toi.

Je vis trois hommes entourant une femme, l’un d’eux la tenait fermement par le bras.

— C’est moi qui commence ! Faut que je me rattrape pour la dernière fois… dit l’un des hommes.

— De quoi ? La dernière fois ?

— Ha c’est vrai, tu n’étais pas là. En fait, monsieur a voulu obliger une femme féline à lui faire une pipe.

— C’est con ça… se moqua le second homme.

— Ho ça va, je ne savais pas que la langue des félines était si rugueuse… j’ai encore l’impression qu’on me passe du papier de verre sur le gland… pleura l’homme qui voulait avoir la prime.

— Et pourquoi ça serait toi du coup ? demanda celui qui tenait la fille.

— Lâchez-moi, laissez-moi partir, je ne suis pas en période de chaleur, supplia la fille.

— En période de chaleur ? Sache-le, jeune femme, nous les humains n’avons pas ce genre de choses. Nous prenons les femelles quand ça nous plaît, peu importe leur fécondité ! dit l’homme en approchant sa langue dégoûtante du visage de la jeune fille aux cheveux jaunes violacés, sous les rires des deux autres hommes.

Un poignard volant se planta dans l’œil de l’homme à la langue dégoulinante. Il s’écroula au sol, lâchant la jeune femme. Les deux autres hommes se mirent immédiatement en garde, sortant leurs épées et se mettant dos à dos, observant leur environnement.

L’ombre des arbres alentours les recouvrait. Une forme en sortit soudainement, attrapant une tête dans chaque main et les cognant l’une contre l’autre.

— Un démon ! Au secours, un démon ! cria la fille, tentant de se relever pour fuir le plus loin possible.

— Calmez-vous, je ne suis pas un démon, dis-je en abaissant mon masque pour la rassurer.

— Crève ! cria, derrière moi, une voix masculine.

Mince, je m’étais trop précipitée pour faire taire la fille, je n’avais pas vérifié leurs capacités à combattre.

La douleur me saisit au niveau de l’épaule gauche.

Par réflexe, je lui infligeai une *main brûlante* directement sur le torse. Il s’écroula au sol, mort.

À genoux, la douleur devint insupportable. Je m’écroulai à mon tour, dans l’inconscience.

FICHE D’INFORMATION

L’ALAGHE

Les alaghes vivent dans les forêts, ce sont des humanoïdes vaguement apparentés aux yétis. Ils ont un torse développé avec un petit cou presque invisible, une grosse tête aplatie et un front fuyant orné de corne sombre. Ils ont des épaules carrées, des bras longs et puissants, des jambes courtes, mais trapues, des mains et des pieds très larges. L’ensemble du corps d’un alaghe est recouvert d’une épaisse fourrure généralement blonde, rousse foncée ou anthracite. Un adulte mesure environ 1 mètre 80 et pèse 160 kg, leur durée de vie moyenne varie de 75 à 85 ans. Les alaghe sont un peuple non hostile, gérant par eux même leurs populations, ils sont généralement ignorés des chasseurs, mais peuvent devenir très dangereux s’ils se sentent attaqués.

FICHE PERSONNAGE

Pierre De Virdis, Humain, mâle, 67 ans, marquis et conseiller du roi du pays humain Maniars.

Il est toujours accompagné par son majordome/garde du corps, Marius, humain, mâle, 52 ans (eau et vent).

Pierre est un ancien aventurier de rang S au corps à corps.

Possède :

Magies de lumière : Étincellement, lame bénie, globe lumineux.

Il gouverne d’une main invisible le royaume, profitant de la jeunesse du second prince.

Désire une guerre avec le royaume voisin pour renforcer l’équilibre financier de son propre pays.

Il fait accuser notre protagoniste de l’enlèvement du premier prince.

FICHE PERSONNAGE

Piérick, estrayant, mâle, 115 ans 1 mètre 80, cheveux bleu sombre.

Piérick est le responsable d’un groupe mixte de chasseurs regroupant humains, Estrayants et Rainevars. Il est indépendant de tout pays. Ce groupe est classé comme chasseur de rangs AA.

Composition du groupe :

Vector, humain, nécromancien (mort et malédiction)

Marie, humaine, guérisseur (soin et lumière)

Piérick, estrayant, archer (vent et bois)

Morlin, humain, épéiste (feu et terre)

Grog et Herbs, rainevars, guerriers (sans pouvoir)

Ils poursuivent notre protagoniste dans un but de vengeance suite au décès de Ruel et Réna, deux humains de leur groupe.

FICHE D’INFORMATION

LE RAINEVAR

Les rainevars sont des humanoïdes plus petits que des humains, entre 1métre 20 et 1 mètre 60. Ils ont des muscles saillants et une peau sombre recouverte d’un fin pelage de couleur unie allant du noir au beige. Leurs bras sont proportionnellement plus grands que ceux des humains, descendant jusqu’à leurs genoux.

Ce sont des combattants nés avec très peu de compétence magique, leur crâne est plus épais et plus profond que celui des humains, avec un front large.

Les Rainevars sont très sociaux entre eux, vivant en larges communautés, leurs villes sont bâties à l’aide de différents minerais de fer, cuivre et autres matières ferreuses.

N’ayant pas ou peu de capacités magiques, ils sont reconnus pour leur savoir-faire artisanal, mais aussi pour être des guerriers redoutables.

Ils parlent le commun. La race qui les exacerbe le plus sont les Estrayants.

FICHE D’INFORMATION

L’ESTRAYANT

Les Estrayants sont une race humanoïde de taille comparable aux humains. Ils ont des cheveux de bleu turquoise à vert foncé pour les mâles et de blond à rouge écarlate pour les femelles. Leurs yeux sont généralement de couleur rose clair, la spécificité physique en dehors de la couleur de leurs cheveux est leurs longues oreilles en cartilage. Les Estrayants sont un peuple vivant dans le royaume de la forêt éternelle, ils sont sédentaires, mais ne vivent pas pour autant en communauté, préférant leur liberté individuelle. Il est rare de voir des cités d’Estrayant en dehors de la capitale du royaume. Les Estrayants ont une très grande habileté avec la magie liée aux éléments de la nature tels que l’eau, le vent, le bois et la terre. Ils ont une très bonne vue qui fait d’eux de très bons tireurs d’élite et des éclaireurs reconnus pour leurs habilités. Les Estrayants ont une très basse estime des rainevars ne pouvant pas utiliser la magie.


Texte publié par Arnaud, 8 août 2025
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