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tome 1, Chapitre 7 « Poursuivi. » tome 1, Chapitre 7

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Chapitre 7 : Poursuivi.

J’ouvris les yeux. Le flou envahit ma vision, une faible lumière et une chaleur à ma droite.

« Fanel ! Comment vas-tu ? » demanda la voix inquiète de Cinnus.

J’essayai de m’asseoir alors que ma vision s’éclaircissait. Il semblerait que je sois dans une grotte.

« De l’eau, » demandai-je, la gorge en feu de sécheresse.

— Tiens ! » Cinnus me tendit une gourde en peau de grenon géant.

Je la saisis de ma main droite valide. L’eau me redonna vie.

« C’est toi qui m’as traîné dans cette grotte ? » demandai-je au Umas, me souvenant des derniers instants avant de m’évanouir.

— Comment aurais-je pu ? Non non, c’est l’Estrayante, me précisa-t-il.

— L’Estrayante ?

— Oui, celle que tu as sauvée contre ces sales humains ! me répondit-il d’un air de dégoût.

— Je suis aussi un humain…

— Désolé, j’oublie parfois… Enfin, c’est elle qui t’a soigné et qui a immobilisé ton bras, me signala-t-il.

Oui, c’est vrai, mon bras ! Je regardai mon Ă©paule en Ă©charpe, le tissu Ă©tait bien serrĂ© pour Ă©viter que je ne bouge.

« Tu peux me détacher la bande ? » demandai-je au Umas.

— Non, c’est hors de question ! C’est trop tĂ´t ! » dit une voix fĂ©minine depuis l’entrĂ©e de la grotte.

Je me retournai et vis une jeune femme à la peau lisse et pâle, parsemée de grains de beauté et de taches de rousseur sur le visage, de grands yeux clairs couleur magnolia. Ses cheveux jaunes, aux reflets violets et pointes tirant sur la clématite, encadraient son visage, et la pointe blanche de ses oreilles ressortait de sa chevelure. Elle fronçait les sourcils, ce qui déformait à peine son visage que j’avais jugé magnifique au premier regard.

« Vous venez d’être blessé, il ne faut pas que vous vous forciez ! » me prévint-elle.

— C’est gentil de t’inquiéter pour moi, jeune fille. Mais je vais bien. Détache-moi, il faut que je fasse ma maint…

— Jeune fille ? Vous êtes un gamin pour moi ! » se fâcha la jeune femme.

Je regardai le Umas, étonné.

« Les Estrayants vivent bien plus longtemps que les humains, son apparence ne veut rien dire sur son âge, m’expliqua-t-il.

— Tout comme moi, j’ai 7 ans, mais mon espérance de vie est de 250 ans, donc je suis déjà un adulte en âge de procréer, continua-t-il.

— Quel âge as-tu ? demandai-je.

— Vous manquez de manières… » me dit-elle en détournant les yeux.

— Ne me vouvoie pas, je me présente, Fanel, j’ai dépassé la cinquantaine. » dis-je en me levant et lui tendant ma main valide.

Elle regarda un moment ma main avant de la saisir avec hésitation.

« Je suis Matis Habig’Erma, j’ai… dépassé les trois quarts de siècle, dit-elle dans un chuchotement.

— Ho ? J’en ai un demi, et tu fais bien plus jeune que moi, ris-je pour moi-même.

— Nous les Estrayants vivons en moyenne 250 années, je ne suis qu’une jeune adulte pour mon peuple, précisa-t-elle avec un léger rougissement.

— Enchanté Matis, merci de m’avoir secouru alors que j’étais évanoui, m’inclinai-je avec respect.

— C’est moi qui dois te remercier, pour m’avoir aidée tout à l’heure. Si tu n’avais pas fait ça, tu ne serais pas blessé…

— Ne t’inquiète pas, détachez-moi cette bande et je vous montrerai que je vais bien, demandai-je à Cinnus et Matis.

— Votre tenue me fait un peu peur… » me dit-elle en passant dans mon dos pour détacher la bande.

Je m’aperçus que ma tenue était toujours en mode « ombre ». Je me concentrai pour demander à Process de changer cette apparence.

« Erreur ! Erreur ! Conflit protocolaire d’alimentation de la combinaison de camouflage nocturne. Aucune connexion possible. »

Je fronçai les sourcils tandis que mon bras était libéré de son attache. Il tomba lourdement le long de mon corps, tel un poids mort.

Je ne pus le bouger du tout.

« Merde, il doit y avoir un problème mécanique… » dis-je pour moi-même.

— Mécanique ? » me demanda le Umas.

— Process, décroche l’élément externe : bras gauche. » ordonnai-je en réponse.

Mon bras se décrocha depuis l’omoplate et tomba au sol, perdant sa texture de peau et prenant sa véritable apparence d’acier.

Cinnus et Matis sautèrent en arrière, surpris.

« Ce n’est rien, mon bras est un élément artificiel, dis-je pour les rassurer.

— Je n’ai jamais vu ça avant, murmura Matis en s’approchant du membre au sol.

— Pouvez-vous le tourner, l’omoplate vers le haut ? Que je vérifie les dommages subis ? » demandai-je à mes deux collaborateurs.

Ils s’exécutèrent avec quelques hésitations à toucher cette chose étrange. Mon IA prit le relais pour faire une analyse visuelle des dommages.

« Analyse en cours… terminé.

— Dysfonction de l’axe rotatif, courroies sectionnées, dysfonction à plus de 87 %.

— Membre externe bras gauche inutilisable, conseil : réparation complète des éléments internes, me dit-elle.

— Oui, je suppose que c’est comme réparer mon communicateur… » murmurai-je pour moi-même.

— Alors ? » me demanda Matis dont les yeux pétillaient de curiosité devant ce bras qui n’était en aucune façon fait de matière organique.

— Il est foutu. Je vais rester avec un seul bras pour le moment, expliquai-je, désarçonné.

— Process, analyse la tenue de camouflage.

— Analyse en cours… Erreur ! Conflit protocolaire d’alimentation de la combinaison de camouflage nocturne. Aucune connexion possible.

— Mince, la poisse, dis-je pour moi-même.

— Qui est Process ? » demanda Matis à Cinnus.

— C’est son « truc » dans la tête… tu sais… là, » essaya-t-il d’expliquer en montrant sa tête du doigt.

— Ho je vois… tu veux dire qu’il est… » demanda-t-elle en faisant un signe de tournevis avec son doigt sur sa tempe.

— Oui, un peu, c’est vrai qu’il est étrange… »

Je soupirai et commençai à enlever ma combinaison.

« Haaaa, que fais-tu ? » demanda Matis, toute rouge, choquée par mon acte.

— Je me change.

— Préviens quand c’est comme ça ! » ordonna-t-elle en se tournant vers le feu, ses longues oreilles aussi rouges et chaudes que les flammes devant ses yeux.

— Serait-ce possible qu’une grande fille comme toi n’ait jamais vu d’hommes nus ? » demandai-je en sortant des habits de mon espace subspatial.

— Je… je suis encore jeune… je ne fais que ma première sortie, murmura-t-elle.

Je mis un pantalon style armé, avec des poches multifonctions de couleur noire, une chemise de lin et une armure de cuir clouté que j’avais récupérée au cours de mes voyages. Je fis un nœud au niveau de mon épaule pour éviter que la manche flotte sans consistance.

« Ta première sortie ? » demandai-je en m’installant à ses côtés près du feu.

— Oui, on est élevé dans la forêt éternelle. Quand on arrive avant l’âge adulte, avant nos premiers cycles reproducteurs, on est envoyé en dehors de la forêt pour découvrir un peu le monde. La plupart des estrayants partent sur les terres sauvages où vivent différentes espèces telles que les Ress, alliés à notre peuple.

— Alors que fais-tu dans ce royaume ? demanda Cinnus allongé, léchant sa patte pour toiletter sa tête.

— Je n’ai pas écouté mon père, et j’ai voulu voir le monde des humains…

— Tu regrettes ? » demandai-je tout en arrangeant mon armure de cuir.

— Un peu… Ils m’ont… Ils m’ont… Les humains sont des monstres ! répondit-elle d’un regard plein de colère.

— Je suis aussi un humain… » murmurai-je.

— Désolée. » s’excusa-t-elle en baissant la tête posée sur son bras soutenu par ses genoux.

Je la regardai et soupirai. Avec la rencontre qu’elle avait eue avant que je ne la sauve, il est normal qu’elle pense cela…

« Fanel, qu’est-il arrivé à ton vrai bras ? » demanda le Umas pour changer de sujet.

— C’était lors d’une mission. Je suis tombé sur plus fort que moi. Nous étions pourtant une dizaine pour l’affronter, mais j’ai perdu tout mon côté gauche.

— Dans un donjon ? » demanda Matis.

— Oui, en quelque sorte, répondis-je en haussant les épaules.

— Tout ton côté gauche ? » me questionna encore Cinnus en m’observant.

— Process, désactive simulacre de chair. » demandai-je tout en soulevant le tissu de mon pantalon.

Je laissai découvrir ma jambe de métal tandis que la moitié de mon visage devenait de la même consistance, une caméra remplaçant mon œil gauche.

Matis et Cinnus furent surpris, et ne semblèrent plus savoir quoi dire sur l’état de mon corps.

« Mais je vais bien, ne vous inquiétez pas, » dis-je en reprenant mon apparence normale.

— D’où vient cette technique ? C’est de la magie ? De quel peuple ? » demanda Matis, curieuse.

— Ce n’est pas magique, c’est technologique, précisai-je.

— Techno… quoi ?

— Technologique… comment expliquer, c’est un assemblage de métal et de différents objets qui permet de reconstruire un membre.

— Mais pour qu’il bouge normalement et prenne la couleur de la peau, c’est magique ?

— Oui, ça doit l’être, intervint Cinnus.

— Si vous voulez… » répondis-je, ne sachant comment leur expliquer les subtilités techniques.

Comment pourrais-je expliquer les technologies modernes…

« Au fait, cela fait combien de temps qu’on est là ? » demandai-je pour changer de sujet.

— Tu es resté inconscient une demi-journée, me dit Cinnus.

— Mince, des signes ? » demandai-je.

— Oui, comme avant, j’ai de nouveau senti cette présence qui nous observe, me précisa-t-il.

— Faut qu’on bouge alors…

— C’est dangereux la nuit, nous prévient Matis d’un ton inquiet.

— Oui, on ne peut partir que demain matin.

— De quelle présence parlez-vous ? demanda-t-elle.

— Depuis qu’on est partis d’une cité plus à l’ouest, je ressens sans cesse une présence, mais sans moyens de l’identifier, expliqua le Umas.

— Je peux peut-être aider, nous les Estrayants sommes très proches de la magie du bois. Étant dans une forêt, je peux lancer une détection d’arbre en arbre, proposa-t-elle.

— D’arbre en arbre ?

— Oui, les arbres sont vivants. Par leur sève, leurs feuilles et leurs branches, on peut lancer une détection qui se répandra tant que du bois vivant sera présent, expliqua-t-elle.

Elle se leva et sortit de la grotte, s’approchant du bois. Pour illustrer ses propos, elle récita un chant doux et mélodieux, et une lumière verte se leva de sa main pour entrer dans l’arbre le plus proche.

Puis elle resta les yeux fermés et immobile pendant un moment.

« Il y a un groupe d’hommes en armure de métal qui se dirige vers notre position !

— Dans combien de temps seront-ils sur nous ? » demandai-je en me levant rapidement, suivi par Cinnus.

— Peut-être une heure tout au plus…

— Merde, faut qu’on se barre d’ici ! » déclarai-je en jetant de la terre sur le feu.

— Vous savez qui c’est ? demanda-t-elle, inquiète.

— Non, mais je ne préfère pas les attendre pour le savoir. »

Nous partîmes précipitamment de la grotte, récupérant mes affaires au passage, tels que mon bras ou ma combinaison inactive.

Le soleil n’était pas encore couché, mais bien avancé sur son déclin.

Nous avancâmes pendant deux bonnes heures avant que la nuit ne soit trop sombre. Même si je possédais la vision nocturne grâce à Process, je devais tout de même penser à mes collaborateurs, certes le Umas avait une vision améliorée contrairement à l’Estrayante.

Je pus escalader un arbre avec mon bras valide, pas trop haut hélas, mes mouvements restaient limités avec un membre en moins.

Nous nous reposâmes à tour de rôle dans l’arbre. Trois heures plus tard, des bruits nous interpellèrent.

« Fanel ! » murmura Matis en désignant un chemin forestier à une trentaine de mètres de nous.

Je les observai. Ce sont en effet des chevaliers et gardes. Ils arborent le blason de l’iguane sur leurs capes et tabards.

« C’est la tête de dragon, c’est l’armée royale de ce pays ! » affirma Matis.

— Dragon ?

— Oui, sur leurs capes et tabards. Qu’avez-vous fait pour attirer le courroux de la royauté ? » demanda-t-elle, anxieuse.

Une multitude de questions tournèrent dans ma tête : est-ce dû à ce que j’avais été témoin ? Comment nous avaient-ils retrouvés si vite dans cette immense forêt, après avoir passé tant de temps cachés chez les alaghes ? Est-ce eux, que Cinnus ressent sans cesse, cette présence ?

« Halte ! » cria l’officier à la tête de la troupe d’une quinzaine d’hommes dont une dizaine montaient des lézards géants ruminants de l’herbe.

Nous les observâmes. Ils semblèrent monter le camp…

« Pourquoi a-t-il fallu qu’ils s’arrêtent si près de nous ? » murmura Cinnus.

— Il semble donner des ordres à un de ces soldats en armure légère, remarqua Matis.

— Un éclaireur ? Cinnus, tu peux aller le choper ? » demandai-je.

— Pourquoi ? » m’interrogea-t-il, en soupirant d’avance.

— On a besoin de renseignements.

À ce moment-là, l’éclaireur partit en marchant sur le vent à une vitesse ne faisant pas honte à sa profession.

« Merde ! » dit Cinnus en grimpant très rapidement sur l’arbre où nous nous cachions. Je le vis sauter sur le prochain arbre, la poursuite fut lancée.

« Si seulement ma combi et mon bras n’étaient pas HS…

— On est trop près d’eux pour bouger, ils nous remarqueraient immédiatement, me souffla Matis.

— Illusions des ombres. » dis-je en faisant un geste de la main.

J’entamai ma descente à un bras pour finir au sol sans trop d’encombre.

« T’es fou ! » me chuchota-t-elle depuis sa branche.

— Descends, ils ne nous verront ni ne nous entendront.

— Comment ? » demanda-t-elle, perturbée, une fois arrivée au sol, en regardant le vigile à trente mètres qui sembla nous regarder sans nous voir.

— C’est une de mes compétences d’ombre : elles nous cachent de leur vue tant qu’ils restent assez éloignés et qu’on ne fait aucune lumière. Leurs yeux ne voient que de l’ombre, expliquai-je.

— Allons rejoindre Cinnus. » poursuivis-je.

Nous avancâmes silencieusement au sein de la forêt, dans la direction que le Umas avait prise.

Au bout de quelques minutes, on le retrouva assis sur le corps de l’éclaireur.

« Tu l’as tué ? » demanda Matis.

— Non, je suis un Umas, je peux endormir mes cibles, précisa-t-il avec une note de fierté.

— Matis, attache-le s’il te plaît, on va l’interroger. » demandai-je.

Une fois le soldat réveillé avec force, et une petite séance de torture en lui enfonçant doucement des pierres brûlantes dans sa peau fondante, il nous révéla que mon identité était connue grâce au Marquis de Virdis, et que si nous voulions nous en sortir vivants, il fallait libérer le prince.

Il nous raconta aussi que des troupes étaient parties de Crotance et Trivié pour nous prendre en tenaille, et qu’il était chargé du relais.

J’avais beau pester que je ne connaissais pas ce prince et que j’étais innocent, l’autre parti ne démordit pas de la complicité de Fanel et de son groupe dans l’enlèvement du prince. Après tout, ses supérieurs avaient des moyens pour savoir la vérité. Il avait plus confiance en eux qu’en ces menteurs devant lui.

Des flammes sortirent de ses yeux au moment oĂą je fis surchauffer son cerveau.

« On fait quoi maintenant ? » demanda Cinnus.

— Désolé Cinnus, je ne peux pas aller à Crotance, m’excusai-je.

— Si tu veux partir seul, je le comprendrais, poursuivis-je.

— Non, je vais rester avec toi, répondit-il après une réflexion d’une seconde.

— Hein ? Pourquoi ? » demandai-je.

— Ta tente est confortable, et on ne s’ennuie jamais avec toi. J’aurai bien le temps de retrouver ma famille et le travail pénible qui m’attend, précisa-t-il.

— On peut aller au nord, proposa Matis.

— Tu restes avec nous ?

— Bien sûr, je rentre chez moi au nord, donc c’est ma route, dit-elle comme excuse.

— Au nord… » dis-je en regardant ma carte en transparence que l’IA affichait.

— Vers Barriére ?

— Plus par Cl’av, c’est une cité estrayante, il n’y aura pas de troupes de ce pays, me répondit la jeune femme, étonnée que je connaisse la géographie.

— Mais c’est après la frontière, non ? D’ailleurs, elle ressemble à quoi cette frontière ?

— Oui, c’est une rivière de plus de onze lieues avec de forts courants, il faut une embarcation avec la magie de l’eau ou du vent pour traverser.

— Et tu connais une de ces embarcations ? demandai-je.

— Bien sûr, je m’occupe de tout. » répondit-elle avec fierté en prenant une pose que l’on ne voit que dans les bandes dessinées.

Je soupirai, me voici avec un nouveau compagnon de route.

FICHE DE PERSONNAGE

Matis Habig’Erma, estrayante, femelle, 75 ans, fille du roi de la forêt éternelle. Chasseresse de rang B. Matis est une survoltée énergique, c’est une experte en arc, pièges et magie. Elle est libre de toute contrainte, même si son frère aimerait l’enfermer à double tour, étant une femelle, elle n’a aucun droit à la parole ou à la succession de son père. Dans sa solitude, elle s’est fait un masque d’humeur joyeuse qu’elle porte la plupart du temps. Lassée de sa vie, elle suit notre protagoniste pour découvrir d’autres horizons que ceux qui lui sont offerts.

Possède : Magie de l’air : Rafale (lame tranchante), coussin d’air (lévitation) Magie du bois : Enchevêtrement, Barrage de pique, pousse rapide. Combiné : Conception d’abris (vent et bois), détection de vie (vent et bois) tempête de feuille (AOE)


Texte publié par Arnaud, 8 aoĂ»t 2025
© tous droits réservés.
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